C'est chez Asphodèle que j'ai découvert cette poétesse, Maram al-Masri
« Elle va nue, la liberté,
Sur les montagnes de Syrie
Dans les camps de réfugiés.
Ses pieds s’enfoncent dans la boue
Et ses mains gercent de froid et de souffrance.
Mais elle avance »
« L’avez-vous vu ?
Il portait son enfant dans ses bras
Et il avançait d’un pas magistral
La tête haute, le dos droit…
Comme l’enfant aurait été heureux et fier
D’être ainsi porté dans les bras de son père…
Si seulement il avait été
Vivant. »
La force de la poésie... j'ai lu d'autres textes grâce à toi je découvre...
RépondreSupprimerLe blog d'Asphodèle est très intéressant, j'y ai déjà fait de belles découvertes.
SupprimerJ'aime la poésie, mais mon français n'est pas assez riche pour que j'en écrive et puis je fais des fautes :))))
Si le monde prenait le temps d'écouter la souffrance, il y en aurait plus.
RépondreSupprimerJe connaissais le blog d'Asphodèle, je vais le visiter de temps en temps.
Bisous Nadezda et belle fin de dimanche
Merci Nathanaëlle :) Passe une belle nuit :)
SupprimerJe t'embrasse !
C'est très beau et je ne connaissais pas, bien sûr.
RépondreSupprimerJe trouve que ton Français est très riche et que tu fais moins de fautes que moi.
Lance toi, je suis sûre que tu peux écrire de très belles choses.
J'ai une amie italienne à Oulx, chez qui j'étais (j'arrive, j'ai eu froid) qui écrit de jolis poèmes en français.
Elle se régale et commence a avoir du succès.
Gros bisous Nadezda.
Belle soirée
Tu es gentille de m'encourager, il est vrai que parfois j'ai envie d'écrire de petites nouvelles.
SupprimerHemingway disait : "ce qui peut arriver de mieux à un écrivain c'est d'avoir eu une enfance malheureuse"
Par curiosité, je suis allée voir où se trouvait Oulx et je comprends que tu avais eu froid, d'après Wiki il faisait -3°.
Gros bisous Mireille et bonne nuit :)